•  

    Coucou tout le monde!

    Voilà ma participation au concours 5 de ce blog: http://concoursblog.eklablog.com/

    J'en profite pour vous donner mon sentiment à ce propos alors n'hésitez pas à commenter et me donner votre avis!

     

    On pleure pour tellement de raisons mais là n'est pas la question. La question est plutôt « Pourquoi se retient-on de pleurer ».

    Il y a aussi beaucoup de raisons à cela, beaucoup...

    On se retient de pleurer par crainte du regard des autres, par crainte que l'on nous traite comme un enfant, qu'on se moque de nous. Qui n'as pas déjà été dans un situation où il a pleuré devant d'autres, dans une situation qu'il ne voudrait plus jamais revivre ? Qui n'as jamais eu une « étiquette » après cela ?

    On se retient de pleurer pour ne pas montrer nos faiblesses. Toutes sortes de faiblesses nous asseyent en permanence. La faiblesse quand on voit certaines images à la télé par exemple. La faiblesse de la douleur, la douleur de se disputer avec quelqu'un, la douleur des moqueries, du harcèlement. Il y a aussi la douleur d'un souvenir soudain mais il faut le cacher, il faut cacher ces faiblesses, ne pas les montrer, c'est ainsi. C'est ainsi que la société nous veut : tels des machines sans faiblesses, sans douleur, sans peur.

    On se retient de pleurer pour protéger les autres. On ne veut pas qu'ils s'inquiètent alors on ne pleure pas, on ne veut pas qu'ils souffrent pour nous donc on se retient au maximum.

     

    Alors après, après s'être retenu on craque, on craque seul dans notre coin, on ne se retient plus, on craque devant ses amis, on ne peut plus s'en empêcher et on change la vision de certains sur nous. Voilà pourquoi on se retient de pleurer : pour son apparence, pour les autres.

    Mimi


    3 commentaires
  • Coucou tout le monde!

     

    Me voilà de retour pour un petit poème écrit en vitesse dans le train! J'espère qu'il vous plaira!

     

     

    Ville de légende

    Que n'as t'on entendu

    Sur toutes tes vertus

    On se le demande

     

    N'es tu pas celle qui

    A été désignée

    Comme celle choisie

    Comme passage obligé

     

    Ville aux milles époques

    Ville de tous les éclats

    Solide comme un roc

    Que jamais l'on ne  vaincra

     

    Par différents endroits

    Tu et celle qui de droit

    Rassemble divers monde

    Autour d'une même ronde

     

    Deux pays en un lieu

    En une unique ville

    L'Etat culte d'un Dieu

    D'Europe une capitale

     

    Comment découvrir enfin

    En seulement quelques jours

    Celle qui pour toujours

    Mène tous les chemins

     

    Mimi

     

    P.S: A si je suis en train de "composer" une nouvelle chanson!


    2 commentaires
  • Coucou tout le monde!

    Je profite de ce nouveau texte pour vous prévenir que, à moins que je trouve une conection là où je suis je devrai être un peu absente... Voilà, voilà!

    C'est fini. Comme à chaque fois, comme à chaque fois tu m'as laissée, abandonnée et surtout, surtout tu m'as blessée... Comment ai-je pu te pardonner si souvent? Tu n'est qu'un imbécile, un imbécile qui m'as fait mal, ma brisé le cœur tellement de fois...Comment puis-je exprimer tout mon dégoût envers ton attitude? Je croyais que tu m'aimais, je le croyais je te le jure mais là? Là j'en doute, je ne suis plus sûre de rien. Comment as tu pu faire une chose pareille alors que je t'ai pardonné tellement de fois? A la limite tu me l'aurais dit dès le début, tu m'aurais dit que tu ne m'aimais plus mais non! A chaque fois c'étais pareille mais là... Là c'est vraiment trop... La première fois? La première fois tu m'as laissée sans nouvelle pour une petite dispute ridicule. Pourquoi pas, tu étais vexé ça se comprend même si me laisser pour ça c'est franchement puéril. En plus, c'était toi qui était en tort mais bon, je t'aimais alors je t'ai pardonné quand tu es revenu, quand tu m'as dit que tu m'aimais, que tu t'étais trompé et que tu n'étais qu'un imbécile. Et puis il y a eu cette autre fois, cette fois où tu nous a séparés "pour mon bien". Je t'avais dit que tu ne reviendrais pas, que cette fois si, je ne le pardonnerai pas. Pendant que nous n'étions plus ensemble, tu m'as fait mal, encore une fois. Tu m'as parlé de cette fille, la correspondante Allemande de ta meilleure amie. Elle était selon toi, ta petite amie. Tu m'as parlé de ce cadeau magnifique que tu voulais lui offrir et moi je souffrais en silence derrière mon écran. Je te disais que j'étais contente pour toi, contente que tu ai trouvé quelqu'un de si exceptionnelle que cette fille. Et puis il y a eu des incohérences et tu as enfin fini par m'avouer que tu m'avais menti, qu'il n'y avait personne. Tu voulais juste voir ma réaction, voir si je t'aimais toujours. Bien sûr que oui pauvre idiot! Quelques jours après je t'ai à nouveau pardonné, encore.... Mais quelle idiote je suis! Comment ai-je pu être aussi bête? C'étais de la bêtise à l'état pur, comme quand j'ai commencé à sortir avec toi, comme à chaque fois que je t'ai pardonné. Tu m'as laissée, abandonnée et peut être même déjà oubliée. J'ai continué avec toi malgré l'avis de toutes mes amies, j'ai continué parsque je t'aimais. Et puis maintenant? Maintenant tu m'as laissée de la façon la plus horrible qu'il soit. Les fois d'avant c'étais rien à côté de ça. Cette fois-ci c'est pire que tout... Nous nous étions vu la veille pourtant. Tu avais un comportement un peu bizarre et j'ai mis ça sur le compte du stress pour les exams mais sinon tu étais normal, tu disais que tu m'aimais. Comment pouvais-je imaginer que tu me laisserai le lendemain? Comment imaginer que tu me dirais " hier c'était juste pour vérifier que je faisais le bon choix". Tu m'en as fait du mal mais là... Là c'étais le summum. Je ne sais même plus ce que je ressent, je t'ai aimé mais est-ce que je t'aime toujours? Je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis pleine de regrets, je me demande comment cela se serait passé si j'avais agis différemment. C'est enfin fini. Je suis enfin libre mais si tu savais à quel point je peux regretter tout ce qui est arrivé...

    Mimi


    9 commentaires
  • Voilà mon texte de la première manche du concours de  Harmonie ~. Il fallait écrire un texte en une heure sur un mot tiré au sort dans un dictionnaire. Je suis donc tombée sur le mot absurde et en ait profité pour dénoncer deux ou trois petits trucs... 

     

    Rose: couleur des filles, bleu: couleur des garçon... Absurdité. Dire qu'une personne est normale ou non: absurdité. Toutes ces choses qu'elle a supporté au fil du temps ne sont qu'absurdités. Pourquoi la vie n'est-elle faite que d'absurdité? C'est ce que se demandait Morgane. Elle ne comprenait  vraiment pas ces considérations absurdes. Elle ne savait pas pourquoi mais elle n'en pouvait plus de cette bêtise, de ces gens. Ce serait si facile pourtant de quitter ce monde absurde... Le truc, c'est que Morgane, cette jeune étudiante de 19 ans, ne voulait pas mettre fin à ses jours. Elle trouvait ça vraiment trop bête, elle ne voulait pas. Alors, plutôt que s'abaisser à ça, elle lutait de tout son cœur. Elle prenait par à toutes sortes de manifestation pour lutter contre tout ça. Elle inventait de quoi faire comprendre aux gens la bêtise de leurs sociétés. Combien de fois n'avait-elle pas prouvé à une ville ou une autre qu'il fallait arrêter de créer cette normalité, qu'il fallait arrêter de prendre part aux discriminations.

    C'était une femme, elle prenait part à certaines manifestations féministes. Elle était de celles qui en avaient plus qu'assez de devoir faire attention à leurs tenues. De celles qui voulaient sortir dans la rues en jupe si elle le voulaient sans subir toutes sortes de remarques, de harcèlement. Elle luttait contre cette absurdité.

    Elle luttait aussi contre l'homophobie, la  pollution constante et  croissante. Tous ces problèmes de société, elle luttait pour qu'ils deviennent à leur tour absurdes, pour que tout le monde trouve un jour que cette normalité qu'ils prônaient n'était pas bonne. Elle luttait pour la tolérance, pour l'égalité et pour toutes ces causes qu'elle croyait juste et honorable. Vous me direz sûrement que ce n'est pas possible d'être aussi parfaite mais si, Morgane l'était.

    Lorsqu'il y avait eu les attentats pour Charlie, elle avait participé à toutes les manifestations possibles pour montrer qu'elle était avec ceux de Charlie. A chacun des attentats, elle était là pour montrer qu'elle réfutait les actes commis par ces extrémistes, ces terroristes.  Elle voulait se rebeller contre cette horreur, contre cette absurdité. Comment peut on ne serait-ce que penser à tuer pour une idée? C'est absurde, totalement absurde. Il n'y a rien d'écrit à propos du fait de tuer quelqu'un pour une idéologie ou que ce soit dans les écrits non? Voilà! C'est absurde, la chose la plus absurde qui existe.

    Morgane est disparue désormais. Ironie du sort,elle est morte dans un attentat. Elle est morte au court d'une de ces attaques qu'elle réfutait. Elle est morte dans une absurdité, pour une absurdité. Ce monde de guerre est absurde. Absurde, nous vivons dans un monde plein d'absurde et Morgane le savait. Elle luttait pour dire adieu à l'absurdité, elle luttait contre l'absurdité.

     

    Vous en dites quoi?

    Mimi


    3 commentaires
  • Coucou tout le monde!

    Voilà mon texte pour le concours de Blogueuse NANA! Il fallait raconter un souvenir de façon à ce que le lecteur le vive... J'espère qu'il vous plaira! N'hésitez pas à me donner votre avis (bon comme mauvais)!

     

    Je m'en souviens comme si c'était hier... C'était à Pâque et nous avions loué une sorte d'école de cuisine ou je ne sais quoi. Ce qui est sûr c'est qu'il y avait un dortoir avec 4 lits par chambre. Ils étaient jaunes, je m'en souviens distinctement. Nous étions arrivés, avec mes parents et ma sœur dans la matinée et nous avions directement pris possession de notre chambre. Nous avions choisi que ma sœur et moi dormirions dans la chambre avec mes grands parents pendant que mes parents déplieraient la couchette de la voiture pour dormir. Nous étions enfin installés.

    J'attendais mes cousins avec impatience. Allais-je les reconnaître? Pour ceux que je voyais le plus souvent cela a été facile. C'est pour les autres que ça c'est gâté... Je ne me souvenais pas d'eux... Le malaise... Il y en a même que je n'avais jamais rencontrés et avec qui j'ai fait connaissance sur le moment. Dès le début, nous nous sommes bien amusés et même les plus jeunes ont étés intégrés. Avec certains, nous nous sommes ensuite isolés pour discuter. Nous voulions parler de nos vies depuis que nous nous étions vus pour la dernière fois, des membres de la famille absents, de tout et de rien quoi! Il vaut dire que pour certains, cela faisait 6 ans que nous ne nous étions pas vus... C'était...long! Il y avait une sorte de balcon où nous nous étions installés et les délires ont vraiment commencés à  ce moment là. Imaginez... Un balcon pavé avec quelques marches et surtout... Une barre de métal qui nous a tous fait penser à la proue d'un bateau. A quoi vous pensez vous dans ces cas là? Nous avions de quoi faire les idiots du coup ça parait évident non? On a pas pu s'empêcher d'imiter la scène culte du célèbre Titanic! Résultat: de grosses chutes et des crises de rires mémorables! L'après midi a continué au milieu des rires et des arrivées répétées mais nous nous ignorions royalement tout adulte ne nous parlant pas directement. Il ne fallait tout de même pas qu'on nous enlève notre liberté pour ranger la nourriture ou le peux d'affaires que nous avions apporté quand même! A l'arrivé nous avons passé l'après-midi à jouer, parler et découvrir le parc.

    Le soir, après avoir mangé, nous avons décidé d'aller faire un cache cache dans le noir. Le problème, c'est que mes parents n'ont pas voulu que sorte de nuit. Du coup j'ai dû rester dans ma chambre pendant que tout le monde courait dehors. C'était franchement déprimant jusqu'à ce qu'un de mes cousins éloignés décide qu'il en avait marre de jouer à cache cache et qu'il se mette à tout faire pour qu'on ne le rattrape pas. Tout le monde lui courrait après mais personne n'arrivait à le rejoindre. C'est comme ça que nous nous sommes retrouvés, ma soeur et moi, à établir toutes sortes de stratégies pour pouvoir l'attraper. Je passais alors des coups de téléphone à un autre de mes cousins pour qu'il fasse passer la technique à tout le monde. Je faisais aussi attention au moindre bruit ce qui m'as permis, de nombreuses fois, de localiser le fuyard. Il faut dire qu'il était particulièrement bruyant en particulier quand il passait au dessus des chambres sur une rampe métallique... A l'arrivé, aucunes des idées n'a fonctionné puisque personne n'a réussi à le contrer. En attendant cela a été plutôt drôle et pour tout le monde! Nous avons aussi fait quelques petites blagues comme les lits en portefeuille par exemple.. Ce qui a été franchement hilarant puisque mes parents et mes grand-parents nous ont aidé. Evidemment on a fait attention à le faire sur les lits des autres et on a aussi demandé à l'un d'entre nous de faire le guet. A l'arrivé...tout le monde c'est fait avoir!

    Le lendemain matin, les blagues ont recommencés dès le réveil. Evidement, après s'être fait avoir en beauté, certains ont eu la bonne idée, pour se venger de mes parents, de déposer autour de la voiture des bassines remplies d'eau et de l'enrouler dans du papier WC. Ils n'ont pas "mis les pieds dans le plat" mais se sont empressés de porter les bassines jusqu'aux portes des chambres des supposés responsables. Et...quelqu'un s'est fait avoir et a mis "les pieds dans le plat" et renversé la bassine au passage. Du coup...Passage de serpillière et nouveaux rires! Ensuite, nous sommes partis à la recherche des oeufs laissés par les "cloches". Nous les avons trouvés beaucoup plus vite que prévu par nos parents... Ils étaient franchement embêtés! Mais c'est normal après tout... Il faut toujours être celui qui en rapporte le plus non? Nous les avons ensuite rapidement partagés .Quand je dit rapidement c'est pas vite mais juste après pasque sinon ça a été TRES long...Entre ceux qui essayaient de tricher, ceux qui voulaient faire des symboles avec les oeufs et tous les autres qui criaient pour avoir leur part... Nous sommes repartis courir un peu partout dès la fin de la répartition. La journée c'est ensuite finie comme elle avait commencé, dans la joie et la bonne humeur.

    C'est le lundi que cela c'est gâté. Nous parlions avec les adultes quand la grand-mère de deux de mes cousins éloignés (ne me demandez pas à quel degrés je n'en ai aucune idée) à fait un malaise. Heureusement, une des personnes présentes savait comment réagir dans cette situation précise et mon père a immédiatement appelé les pompiers avec mon portable puisqu'il avait laissé le sien dans une autre pièce et qu'il fallait être rapide. On a fait sortir rapidement les "enfants" (dont je faisait partie) et on nous a dis d'aller dans les chambres. Nous étions tous très inquiets du coup l'ambiance était franchement morose. Avant d'entrer dans le bâtiment dans lequel nous dormions, un de mes cousins c'est énervé et a jeté une pierre mais bon... Personne ne lui en a voulu comme ce n'était pas dans ses habitudes. On se regardait juste les uns les autres en attendant des nouvelles. Finalement, les pompiers sont arrivés et ils l'ont emmené à l’hôpital. Nous avions prévu de manger de la paella mais du coup nous n'avons presque rien mangé et les rires n'étaient plus au rendez-vous. Les conversations ont déviées sur les différents accidents que nous avions vécus nous ou nos amis. Autant dire que ce n'était franchement pas gai. Tout le monde c'est détendu dès que nous avons eu des nouvelles qui, heureusement, étaient bonnes. Je suis ensuite rentrée chez moi puisqu'il paraît que j'avais cours le lendemain et qu'il fallait que je sois en forme.

    Malgré les quelques problèmes survenus et  le goût pas franchement top de certains repas je pense pouvoir dire que ce souvenir restera un excellent moment dans ma mémoire. Après tout, à part la fin du dernier jour le week-end était superbe!

    Mimi


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique